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Severus Rogue — Black aurait dû se cacher dans le bureau de Rogue, comme ça, il nous en aurait débarrassé !
— J’ai pensé que vous pourriez commencer, poursuivit Rogue avec un sourire malveillant, par les boîtes portant les numéros 1012 à 1056. Vous trouverez là des noms qui vous sont familiers, ce qui devrait ajouter de l’intérêt à votre tâche. Tenez, regardez…
D’un geste majestueux, il sortit une fiche d’une des boîtes posées au sommet de la pile et lut :
— « James Potter et Sirius Black. Surpris à faire usage d’un maléfice illégal sur la personne de Bertram Aubrey. La tête d’Aubrey a doublé de volume. Double retenue. »
Rogue ricana.
— Il doit être singulièrement réconfortant de penser que, bien qu’ils ne soient plus là, une trace de leurs exploits les plus remarquables aura été conservée.
— C'était votre tête, Potter. Votre tête qui flottait en l'air. Il y eut un long silence.
— Il ferait peut-être bien de consulter Madame Pomfresh, suggéra Harry. S'il voit des choses comme...
— Qu'est-ce que votre tête pouvait bien faire à Pré-au-lard, Potter ? l'interrompit Rogue. Votre tête n'a pas le droit de se rendre là-bas. Aucune partie de votre corps n'a reçu l'autorisation d'aller à Pré-au-lard.
— Avant de commencer le cours d’aujourd’hui, dit Rogue qui avait foncé vers son bureau et les dévisageait à présent d’un regard circulaire, je crois utile de vous rappeler qu’en juin prochain vous aurez à passer un examen important au cours duquel vous devrez apporter la preuve de vos connaissances en matière de composition et d’utilisation des potions magiques. Malgré le crétinisme congénital qui caractérise indubitablement une partie de cette classe, il serait souhaitable que vous arrachiez une mention « acceptable » lors de votre épreuve de BUSE si vous ne voulez pas subir… mon mécontentement.
— Il a pris Patmol ! s’écria-t-il. Il a emmené Patmol là où la chose est cachée !
Rogue s’était immobilisé, la main sur la poignée de la porte.
— Patmol ? s’exclama le professeur Ombrage en regardant successivement Harry et Rogue d’un oeil avide. Qui est Patmol ? Où est cette chose cachée ? Que veut-il dire, Rogue ?
Rogue se tourna vers Harry, le visage insondable. Harry ignorait s’il avait compris ou pas mais il n’osait pas s’exprimer plus clairement devant Ombrage.
— Je n’en ai aucune idée, répondit Rogue d’un ton glacial. Potter, quand j’aurai envie de vous entendre crier des paroles sans queue ni tête, je vous donnerai une potion de Babillage. Et vous, Crabbe, desserrez un peu votre prise. Si Londubat meurt étouffé, il faudra remplir tout un tas de paperasses et en plus, j’ai bien peur d’avoir à le mentionner dans vos références quand vous chercherez un emploi.
— Non ! couina Flitwick [à Rogue], sa baguette levée. Vous ne tuerez plus personne à Poudlard !
DUMBLEDORE
Laissons-le nager dans l'océan le plus profond ou planer au-dessus des nuages les plus hauts. Quand nous rêvons, nous entrons dans un monde qui n'appartient qu'à nous.
Dumbledore à Rogue dans la Grande Salle, à propos d'Harry Potter
Personnages concernés : Albus Dumbledore, Severus Rogue, Harry Potter
— Si vous voulez tuer Harry, il faudra nous tuer aussi !
— C'est fou ce que vous ressemblez à votre père, Potter, dit soudain Rogue, les yeux étincelants. Lui aussi était excessivement arrogant. Son petit talent au Quidditch lui donnait l'impression, à lui aussi, d'être au-dessus des autres. Il passait son temps à se pavaner, accompagné de ses amis et de ses admirateurs... La ressemblance entre vous est saisissante, inquiétante, même...
Les sortilèges informulés étaient à présent exigés non seulement en cours de défense contre les forces du Mal, mais également en classe de sortilèges et de métamorphose. Souvent, dans la salle commune ou aux heures des repas, Harry voyait autour de lui des condisciples au visage tendu et au teint violacé, comme s’ils avaient pris une dose excessive de Pousse-Rikiki, mais il savait qu’en fait, ils essayaient de toutes leurs forces d’exécuter un sortilège sans prononcer d’incantation. Sortir du château pour se rendre dans les serres était un grand soulagement. En cours de botanique, ils avaient affaire à des plantes plus dangereuses que jamais mais au moins, ils avaient le droit de jurer haut et fort si une Tentacula vénéneuse les attrapait inopinément par-derrière.
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