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Fred Weasley Il y eut un bruit métallique lorsque le chaudron de Ginny se renversa. Mr Weasley venait de se jeter sur Mr Malefoy en le projetant contre une étagère remplie de livres. Des dizaines d’épais grimoires leur tombèrent sur la tête dans un grondement de tonnerre.
— Vas-y, Papa ! s’écrièrent Fred et George. Mrs Weasley se mit à hurler.
— Non, Arthur, non ! s’écria-t-elle.
La foule recula en désordre, renversant d’autres étagères au passage.
— Messieurs, s’il vous plaît… s’il vous plaît ! s’exclama un vendeur.
— Allons, allons, Messieurs, ça suffit ! dit alors une voix plus puissante que les autres.
Hagrid s’avança vers eux, dans l’océan des livres étalés par terre. Un instant plus tard, il
avait séparé Mr Weasley et Mr Malefoy. Mr Weasley avait la lèvre fendue et Mr Malefoy avait reçu dans l’oeil une Encyclopédie des champignons vénéneux.
— Un bel exemple à donner aux enfants ! Se battre en public ! Je me demande ce qu’a dû
penser Gilderoy Lockhart. [Molly]
— Il était très content, dit Fred. Tu ne l’as pas entendu quand on est partis ? Il demandait au type de La Gazette du sorcier s’il pourrait parler de la bagarre dans son reportage. Il a dit que ça ferait une très bonne publicité.
On ne pouvait imaginer meilleure façon de voyager, songea Harry. Voir défiler des tourbillons de nuages aux formes extraordinaires en restant bien au chaud dans la voiture, sous un soleil éclatant, avec des caramels plein la boîte à gants et la joie de pouvoir contempler dans quelques heures l’expression envieuse de Fred et de George lorsqu’ils feraient un atterrissage spectaculaire sur la vaste pelouse de Poudlard.
— Bravo ! s'exclama Lee Jordan. Belle imagination ! Quelle arrivée ! S'écraser en voiture volante contre le saule cogneur, on en parlera longtemps, à Poudlard ! [...]
Quelqu'un lui donna une tape amicale sur l'épaule comme s'il venait de remporter un marathon. Fred et George se frayèrent un chemin dans la foule.
— Vous auriez pu nous appeler pour qu'on vienne avec vous, dirent-ils.
Il s'agit d'un Scrutoscope de poche. Lorsque quelqu'un en qui on ne peut pas avoir confiance se trouve dans les parages, il doit normalement s'allumer et se mettre à tourner. Bill prétend que c'est un attrape-nigaud qu'on vend aux sorciers qui font du tourisme. Il dit qu'on ne peut pas s'y fier, sous prétexte qu'il est resté allumé pendant tout le dîner, hier soir. Mais il ne s'était pas rendu compte que Fred et George avaient mis des scarabées dans sa soupe.
— On avait fait exploser une Bombabouse dans le couloir et, pour une raison mystérieuse, ça ne lui a pas plu du tout.
Fred Weasley à Harry à propos de Rusard
Personnages concernés : Fred Weasley, Argus Rusard
— Un jour, il nous a débarrassés de Goyle en le mordant ! répliqua Ron d'un air accablé. Tu te souviens, Harry ?
— C'est vrai, dit Harry.
— Son heure de gloire, dit Fred, incapable de garder son sérieux. Que la cicatrice sur le doigt de Goyle témoigne de cet acte de bravoure !
— Charlie a dû repasser son permis, dit Fred avec un sourire. Il l'a raté la première fois. Il a transplané huit kilomètres plus au sud que l'endroit prévu, sur la tête d'une pauvre femme qui faisait ses courses, vous vous souvenez ?
— J'essaye de repérer Barty Croupton. Mon homologue bulgare fait des difficultés et je ne comprends pas un mot de ce qu'il raconte. Barty saura m'arranger ça. Il parle à peu près cent cinquante langues étrangères.
— Mr Croupton ? dit Percy, qui avait perdu son air de réprobation indignée et frémissait soudain d'excitation. Il en parle plus de deux cents ! Y compris la langue des sirènes, la langue de bois et la langue des trolls...
— Tout le monde sait parler troll, dit Fred d'un air dédaigneux, il suffit de grogner en montrant du doigt.
Vous n'auriez quand même pas l'intention de recommencer cette histoire de Farces pour sorciers facétieux ?
– Écoute, maman, répondit Fred en levant vers elle un regard attristé. Si demain, le Poudlard Express déraille et qu'on est tués tous les deux, George et moi, imagine dans quel état tu seras en pensant que, la dernière fois que tu nous as adressé la parole, c'était pour nous accuser injustement ?