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Albus Dumbledore Gellert,
Ce que tu disais sur le fait que la domination des sorciers s’exerce POUR LE PROPRE BIEN
DES MOLDUS – voilà le sujet crucial. Oui, un pouvoir nous a été accordé et, oui, ce pouvoir nous
donne le droit de gouverner, mais il nous donne également des responsabilités à l’égard des gouvernés.
Nous devons insister sur ce point car il sera la première pierre sur laquelle nous pourrons bâtir tout le
reste. Chaque fois que nous serons en désaccord, comme cela arrivera sûrement, cette notion
fondamentale devra représenter la base de toutes nos discussions. Nous prenons le pouvoir POUR LE
PLUS GRAND BIEN. Il en découle que lorsque nous nous heurtons à une résistance, nous ne devons
utiliser que la force nécessaire et pas plus. (Ce fut ton erreur à Durmstrang ! Mais je ne m’en plains
pas, car si tu n’avais pas été renvoyé, nous ne nous serions jamais rencontrés.)
Albus
Lettre d'Albus Dumbledore à Gellert Grindelwald extraite de Vie et mensonges d'Albus Dumbledore
Personnages concernés : Albus Dumbledore, Gellert Grindelwald, Rita Skeeter
Nouveau silence. Harry ne demanda pas si Dumbledore avait jamais découvert qui avait foudroyé Ariana. Il ne voulait pas le savoir, il voulait encore moins obliger Dumbledore à le lui dire. Au moins savait-il maintenant ce que Dumbledore voyait quand il regardait le Miroir du Riséd et pourquoi il avait si bien compris la fascination que ce miroir exerçait sur Harry.
Hermione lut à haute voix les quelques lignes tracées d’une écriture pointue, d’un vert acide :
— « Chère Batty, merci de votre aide. Voici un exemplaire du livre, j’espère qu’il vous plaira. Tout ce que j’ai cité, vous l’avez dit, même si vous ne vous en souvenez pas. Rita. »
A propos de l'exemplaire de Vie et mensonges d’Albus Dumbledore envoyée par Rita Skeeter à Bathilda Tourdesac
Personnages concernés : Hermione Granger, Rita Skeeter, Bathilda Tourdesac, Albus Dumbledore
— Ce vieil imbécile, marmonna Abelforth. [...] Il a toujours pensé que mon frère répandait le soleil par tous ses orifices, il en était convaincu. Comme beaucoup d’autres, d’ailleurs, y compris vous trois, si j’en crois les apparences.
— Très bien, dit Dumbledore qui poussa la porte de la cabane à balais et sortit dans le jardin. Je vois de la lumière dans la cuisine. Ne privons pas plus longtemps Molly d’une nouvelle occasion de déplorer à quel point tu es maigre.
— Mais si Voldemort a utilisé le sortilège d’Avada Kedavra, reprit Harry, et que, cette fois, personne
n’a succombé à ma place… comment puis-je être encore vivant ?
— Je crois que tu le sais, répliqua Dumbledore. Repense au passé. Souviens-toi de ce qu’il a fait
dans son ignorance, sa cupidité, sa cruauté. [...]
— Il a pris mon sang, dit Harry.
— Exactement ! s’exclama Dumbledore. Il a pris ton sang et s’en est servi pour se reconstruire un
corps vivant ! Ton sang circule dans ses veines, Harry. La protection de Lily se trouve en vous deux. Il
te rattache à la vie tant que lui-même est vivant !
— Tu te sens bien ? s’inquiéta Hermione, suffisamment proche à présent pour voir le visage de Harry. Tu as une mine épouvantable !
— En tout cas, répondit Harry d’une voix tremblante, j’ai sûrement meilleure mine qu’Ollivander…
Lorsqu’il leur eut raconté ce qu’il venait de voir, Ron sembla consterné. Hermione, elle, était absolument terrifiée.
— Pourtant, en principe, c’était fini ! Ta cicatrice… Elle ne devait plus te faire mal ! Tu ne dois pas laisser ce contact se rétablir… Dumbledore voulait que tu fermes ton esprit !
Voyant qu’il ne répondait pas, elle lui saisit le bras.
— Harry, il est en train de s’emparer du ministère, des journaux et de la moitié du monde des sorciers ! Ne le laisse pas entrer dans ta tête, en plus !
— Il est cruel, reprit Dumbledore d’une voix douce, que Sirius et toi ayez passé si peu de temps ensemble. Une fin brutale à des liens qui auraient pu durer longtemps et vous apporter de grandes joies.
— Si nous sommes attaqués, répondit Dumbledore, je te donne l’autorisation de recourir à tous les antisorts et contre-maléfices qui te viendront à l’esprit. Mais je crois que nous n’avons pas à craindre d’attaque, cette nuit.
— Pourquoi, monsieur ?
— Parce que tu es avec moi, dit simplement Dumbledore. Ce devrait être suffisant.
— Il n’y a aucune honte à éprouver de tels sentiments, Harry, dit Dumbledore derrière lui. Au contraire… Le fait que tu sois capable de ressentir une telle douleur constitue ta plus grande force.
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