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Harry Potter et la Chambre des Secrets — Allons-y… marmonna-t-il d’un air furieux, remplissons le formulaire… Nom : Harry
Potter. Crime…
— N’exagérons rien, ce n’était qu’un peu de boue, coupa Harry.
— Pour vous, ce n’est qu’un peu de boue, mon garçon, mais pour moi, c’est une heure de plus passée à récurer vos saletés ! s’exclama Rusard. Nous disions donc, crime : souillure du
château… Châtiment proposé…
— Et moi qui pensais que c’était un triste sort d’avoir à passer encore quatre semaines ici, dit-il. A côté, les Dursley ont presque l’air humain.
— Nick ! rugit-il. Comment vas-tu ? Ta tête tient toujours ?
— Un bel exemple à donner aux enfants ! Se battre en public ! Je me demande ce qu’a dû
penser Gilderoy Lockhart. [Molly]
— Il était très content, dit Fred. Tu ne l’as pas entendu quand on est partis ? Il demandait au type de La Gazette du sorcier s’il pourrait parler de la bagarre dans son reportage. Il a dit que ça ferait une très bonne publicité.
— Fais-nous un beau sourire, Harry, dit Lockhart à travers ses dents étincelantes largement exhibées. Toi et moi, on va faire la une.
— Allez-y, vous avez une demi-heure pour répondre à toutes les questions.
Harry jeta un coup d'oeil à son papier et lut :
1) Quelle est la couleur préférée de Gilderoy Lockhart ?
2) Quelle est l'ambition secrète de Gilderoy Lockhart ?
3) A votre avis, quel est le plus grand exploit réalisé par Gilderoy Lockhart à ce jour ?
Il y avait ainsi trois pages de questions jusqu'à la dernière :
54) Quelle est la date de l'anniversaire de Gilderoy Lockhart et quel serait à ses yeux le cadeau idéal ?
— Fais attention, Weasley, répliqua Malefoy d'un ton méprisant. Tu ferais mieux de te tenir tranquille, sinon, ta maman va venir te chercher. Il prit une voix perçante et hurla : SI JAMAIS TU REFAIS LA MOINDRE BÊTISE...
Des Serpentard de cinquième année s'esclaffèrent bruyamment.
— Weasley voudrait bien que tu lui dédicaces une photo, Potter, ironisa Malefoy. Il pourrait la vendre plus cher que sa maison.
— Innocent tant qu’on n’a pas prouvé sa culpabilité, Severus
Harry regarda d’un air interdit la photo que Colin brandissait sous son nez.
Lockhart, en noir et blanc, tirait sur un bras que Harry reconnut comme le sien. Il vit avec satisfaction que son image photographique résistait avec vigueur, refusant catégoriquement d’apparaître dans le cadre. Le Lockhart du cliché finit par abandonner la lutte et se laissa tomber, hors d’haleine, contre la bordure blanche.
— Alors, Potter, tu t’es trouvé une petite amie ?
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