HARRY
Tu sais, je croyais en avoir fini avec lui – Voldemort –, je pensais m’en être débarrassé… Et puis ma cicatrice a recommencé à me faire mal, j’ai rêvé de lui, j’arrivais même à parler en Fourchelang et, peu à peu, j’ai eu l’impression que je n’avais pas du tout changé – qu’il ne m’avait jamais quitté…
ALBUS
Et c’était vrai ?
HARRY
Ce qu’il y avait de Voldemort en moi était mort il y a longtemps, mais ce n’était pas suffisant d’être physiquement délivré de lui. Il fallait aussi que j’en sois libéré mentalement. Et ça, c’est une grande leçon pour un homme de quarante ans.