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Fred Weasley Fred et George étaient vêtus chacun d'un pull-over bleu dont l'un portait un grand « F » sur la poitrine et l'autre un « G ».
— Celui de Harry est plus beau que les nôtres, dit Fred en examinant le pull qu'il avait reçu. Apparemment, elle fait davantage d'efforts quand on n'est pas de la famille.
— Pourquoi n'as-tu pas mis le tien, Ron ? demanda George. Vas-y, mets-le, tu verras, c'est très agréable
— J'ai horreur du violet, marmonna Ron en le mettant quand même.
— Au moins, il n'y a pas de lettre sur le tien, fît remarquer George. Elle doit penser que tu n'oublies pas ton nom. Mais nous non plus, on n'est pas idiots, on sait très bien qu'on s'appelle Gred et Forge.
Les jumeaux Weasley reçurent une punition pour avoir fabriqué des boules de neige magiques qui suivaient Quirrell partout où il allait en visant son turban.
— Quelques cadeaux de la part de tes amis et admirateurs, dit Dumbledore, Ce qui s'est passé
dans les sous-sols du château, entre Quirrell et toi, est un secret absolu, par conséquent, toute l'école est au courant. Je crois que ce sont tes amis Fred et George Weasley qui t'ont envoyé un siège de toilettes en pensant que ça t'amuserait. Mais Madame Pomfresh a trouvé que ce ne serait peut-être pas très hygiénique et elle l'a confisqué.
On distribua aux élèves des avis qui les prévenaient que l'usage de la magie était interdit pendant les vacances (« Chaque année j'espère qu'ils vont oublier de nous les donner », dit Fred).
— Papa adore tout ce que fabriquent les Moldus. Il a un garage plein de ces machins-là. Il les démonte, leur fait subir un tas de sortilèges et les remonte. S’il devait faire une perquisition dans sa propre maison, il serait obligé de se mettre lui-même en prison. Ça rend
ma mère folle de rage.
Mrs Weasley traversa la cour à grands pas, provoquant la panique parmi les poulets. La
petite femme replète au visage bienveillant semblait s’être brusquement transformée en une
tigresse redoutable.
— Aïe ! dit Fred.
— Hou, là, là, dit George.
Au même moment, une petite silhouette aux cheveux roux, vêtue d’une chemise de nuit,
apparut dans la cuisine, poussa un cri et ressortit en courant.
— C’est Ginny, dit Ron à voix basse en se tournant vers Harry. Ma sœur. Elle a passé l’été à nous parler de toi.
— Elle veut ton autographe, Harry, dit Fred avec un sourire.
— Tes fils sont allés chercher Harry chez lui dans cette voiture volante ! s’exclama Mrs
Weasley. Alors, qu’est-ce que tu dis de ça ?
— Vraiment, vous l’avez fait voler ? dit Mr Weasley, très intéressé. Et elle a bien marché ? Je… je veux dire… balbutia-t-il en voyant les yeux de sa femme lancer des éclairs, c’est… c’est très mal, les enfants… Vraiment très mal…
— Toi aussi, tu dois acheter tous les livres de Lockhart ! Le nouveau prof de Défense contre les Forces du Mal doit être un de ses fans. C’est sûrement une sorcière.
— Où est-ce que tu t’es retrouvé ? demanda Ron.
— Dans l’Allée des Embrumes, répondit Harry d’un air sombre.
— Formidable ! s’exclamèrent Fred et George d’une même voix.
— Nous, on n’a jamais eu le droit d’y aller, dit Ron avec envie.
— J’espère bien, il ne manquerait plus que ça ! grogna Hagrid.