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George Weasley Les jumeaux Weasley reçurent une punition pour avoir fabriqué des boules de neige magiques qui suivaient Quirrell partout où il allait en visant son turban.
— Quelques cadeaux de la part de tes amis et admirateurs, dit Dumbledore, Ce qui s'est passé
dans les sous-sols du château, entre Quirrell et toi, est un secret absolu, par conséquent, toute l'école est au courant. Je crois que ce sont tes amis Fred et George Weasley qui t'ont envoyé un siège de toilettes en pensant que ça t'amuserait. Mais Madame Pomfresh a trouvé que ce ne serait peut-être pas très hygiénique et elle l'a confisqué.
— Percy est très bizarre depuis le début des vacances, dit George en fronçant les sourcils. Il envoie beaucoup de courrier et il reste presque tout le temps enfermé dans sa chambre…
Mais on ne peut quand même pas passer toutes ses journées à astiquer son insigne de préfet…
Mrs Weasley traversa la cour à grands pas, provoquant la panique parmi les poulets. La
petite femme replète au visage bienveillant semblait s’être brusquement transformée en une
tigresse redoutable.
— Aïe ! dit Fred.
— Hou, là, là, dit George.
— Tes fils sont allés chercher Harry chez lui dans cette voiture volante ! s’exclama Mrs
Weasley. Alors, qu’est-ce que tu dis de ça ?
— Vraiment, vous l’avez fait voler ? dit Mr Weasley, très intéressé. Et elle a bien marché ? Je… je veux dire… balbutia-t-il en voyant les yeux de sa femme lancer des éclairs, c’est… c’est très mal, les enfants… Vraiment très mal…
— Si on n’y prend pas garde, on va avoir un autre préfet-en-chef dans la famille. Je crois que je ne survivrai pas à cette infamie.
— Où est-ce que tu t’es retrouvé ? demanda Ron.
— Dans l’Allée des Embrumes, répondit Harry d’un air sombre.
— Formidable ! s’exclamèrent Fred et George d’une même voix.
— Nous, on n’a jamais eu le droit d’y aller, dit Ron avec envie.
— J’espère bien, il ne manquerait plus que ça ! grogna Hagrid.
Il y eut un bruit métallique lorsque le chaudron de Ginny se renversa. Mr Weasley venait de se jeter sur Mr Malefoy en le projetant contre une étagère remplie de livres. Des dizaines d’épais grimoires leur tombèrent sur la tête dans un grondement de tonnerre.
— Vas-y, Papa ! s’écrièrent Fred et George. Mrs Weasley se mit à hurler.
— Non, Arthur, non ! s’écria-t-elle.
La foule recula en désordre, renversant d’autres étagères au passage.
— Messieurs, s’il vous plaît… s’il vous plaît ! s’exclama un vendeur.
— Allons, allons, Messieurs, ça suffit ! dit alors une voix plus puissante que les autres.
Hagrid s’avança vers eux, dans l’océan des livres étalés par terre. Un instant plus tard, il
avait séparé Mr Weasley et Mr Malefoy. Mr Weasley avait la lèvre fendue et Mr Malefoy avait reçu dans l’oeil une Encyclopédie des champignons vénéneux.
On ne pouvait imaginer meilleure façon de voyager, songea Harry. Voir défiler des tourbillons de nuages aux formes extraordinaires en restant bien au chaud dans la voiture, sous un soleil éclatant, avec des caramels plein la boîte à gants et la joie de pouvoir contempler dans quelques heures l’expression envieuse de Fred et de George lorsqu’ils feraient un atterrissage spectaculaire sur la vaste pelouse de Poudlard.
— Bravo ! s'exclama Lee Jordan. Belle imagination ! Quelle arrivée ! S'écraser en voiture volante contre le saule cogneur, on en parlera longtemps, à Poudlard ! [...]
Quelqu'un lui donna une tape amicale sur l'épaule comme s'il venait de remporter un marathon. Fred et George se frayèrent un chemin dans la foule.
— Vous auriez pu nous appeler pour qu'on vienne avec vous, dirent-ils.